Dis-moi dix mots en nouvelle

Les premières neiges.

La neige couvre la terre d’un  voile mince et fin. Tout autour acquiert une apparence triomphale tout de suite . Je me tiens sur le balcon et  j’obsèrve un choeur des flocons de la neige valsants harmonieusement en s’accompagnant à la silence. le jour commence à se lever. On dirait que c’est un conte de fée et un un vieil homme avec  une cordée de fagots pour un poêle va apparaître d’un moment à l’autre.  A l’improviste une petite toux rompt le fil de mes pensées. Tiens ! Voilà le premier passant . Il se mouvoit lentement et prudemment, comme s’il se sentait un hôte indésirable dans cette royaume d’hiver magnifique. Il y a quelques deux ou trois heures quand il dormait à poings fermés sous sa couverture et  probablement, il revait d’une chaleur d’étè.  Brusquement un son perçant de son réveille-matin lui fait reprendre la réalitè. Et le voilà qui va au boulot pour y prendre part  à un seminaire usuel à l'effet de réseauter et partager des contacts . Je le suive des yeux et le vent rasant verse les cristals ciselé sur les empreintes de ses pas dans la neige.  Cependant deux petits moineaux hérissés ont décidé d’arranger  des agapes, en avaient apperçus quelques sorbes sur un buisson à l’autre côte de l’allée. Celui, le plus petit à decidé de donner la change a son complice et en attrapant avec son bec en sous-main la dérniére baie la plus grande, il a prit la poudre d'escampette. L ’hiver accueillant les recevait à bras ouverts  et elles s'éclipsent dans les branches enneigés. 

Viktoriya Limareva, 19 ans, KUBSU Krasnodar

A la découverte du bonheur Larchenko Natalya 21 ans université d'Etat d'Orenbourg Orenbourg

Francomaria Page 1 Page 2 Page 3   L’institut d’Etat des sciences sociales et humaines, Kolomna  

La belle histoire sur pas grand chose.   Nom, prénom: Khibova Anastasia âge: 20 ans établissement: L'Université d'Etat de l'Oural ville: Ekaterinbourg     

Illusion Karpova Olga, 19 ans, L'Université Pédagogique de Volgograd, Volgograd. Je vous demande pardon, j'avais déjà envoyé cette nouvelle mais puis j'ai aperçu que ce n'était pas la version terminale. Maintenant je vous envoie la variante correcte.

LUI   Les yeux d’André étaient indes. Comme le cosmos. Son cosmos. Et ils reflétaient une étoile. Son étoile. Yvette fut réveillée d’un bruit ressemblant à la chanson belliqueuse qu’un essaim d'abeilles chante en choeur. Il sembla que le ciel allait s'écrouler et enterrer une pauvre ermite. Sortie en courant de sa caverne, la jeune fille vit un astronef. Elle ne l’avait jamais vu, mais elle comprit tout de suite que ce truc était venu du cosmos. Le trapp ouvrit. Yvette se figea, les yeux clos. Il y a longtemps (avant qu’elle changeât le remue-ménage de la ville pour la sérénité de sa caverne) qu’elle avait vu une image terrible d’un extraterrestre: le corps disproportionné, la tête globulaire aux trois yeux suspendus aux fils, les mains aux cordées des doigts-verges, la peau verte… Le silence la fit ouvrir les yeux. IL fut debout devant elle. Et IL ne ressamblait pas du tout à l’image. C’était un homme harmonieusement bati, à la peau normale, aux fortes mains et aux yeux indes. Un vrai fils des étoiles. Frappée de SA beauté, un sourire accueillant illumina le visage d’Yvette. Cette nuit-là, ils conversèrent dans la caverne d’Yvette et leurs visages étaient éclairés d’une seule bougie. La jeune fille se rappela les toiles sur les agapes et les réunions clandestines des complices. Au cours de quelques heures ils surmontèrent le chemin de la rencontre des représentants de deux mondes différents à l’affinité de deux cœurs solitaires qui se rencontrèrent et battaient à l'unisson désormais. La bougie s'éteignit, mais ils étaient si occupés l’un d’autre qu’ils n’aperçurent pas cette vétille… Et le lendemain elle se réveilla seule. IL avait disparu et elle ne pouvait pas LE trouver, LUI parler. Même le retour à la ville ne pourrait pas aider. Ni téléphoner, ni réseauter. Aucune liaison… Trois années passèrent. Chaque soir Yvette sortait de sa caverne et restait assise pour longtemps en regardant dans le ciel. Cependant depuis deux dernières annés elle n’était plus seule. C’est son fils André, l’enfant de la terre et de l’étoile, qui regardait dans le ciel avec elle. Les yeux d’André étaient indes. Comme le cosmos. SON cosmos. Et ils reflétaient une étoile. SON étoile.   Evgeniya Kartavenko, 24 ans, Academie socio-pedagogique d'Etat de Nijni Taguil   

Le fil du bonheur.    Que peut nous donner la vie ? Le bonheur ? Les sourires ? L'amour ? Certain pensent autrement: pour quelqu’un la vie c’est la douleur, les souffrances et le mensonge. Chaque personne forme la vie lui-même, par les idées et les actes. Si on est accueillant et brave homme – la chance et la vie heureuse on trouvent. Et on deviendra pour toujours cordée avec le bonheur. S'il y a dans la vie quelque chose plus cher que les sourires des amis et les proches ? Que de l'ami, qui donnera la main dans le malheur ?Que de la mere accueillante, qui embrassera toujours, quand il te sera difficile ? Pour moi ces choses sont les plus importantes …   Le fil du bonheur est fin, mais si la tresser avec les fils des gens proches, elle deviendra solide et éternel, comme la force de l'amour et de l'amitié. Maintenant, je suis loin de la maison, de les parents et mon rêve le plus intime -  c’est passerai le soir harmonieux dans le cercle de la famille en soupant. Je ne peux pas oublier les premiers amis, nos agapes bruyantes, où sonnait toujours le rire. Les amis d'enfance est la vraie valeur, avec eux on jouait aux boules de neige, déjeunait à l'école, chantait dans le choeur d'enfant la chanson sur le nouvel an, examinait les premiers problèmes, maintenant nous pouvons seulement réseauter sur l’Internet.   Vous étiez les complices dans les cache-caches et des autres jeux, et maintenant vous êtes les complices dans le jeu, qui s'appelle la vie. Le but essential c’est - garder cette grande valeur à la longueur de toute la vie. Même si on est la personne géniale, talentueuse sans soutien des amis et des proches, on ne pourra pas d’obtenir les hauteurs de la vie et sentir toutes ses joies.La bienvenue des parents, des amis peut aider à oublier tous les problèmes.   Je ne voulais pas faire l'ouverture par ce récit, je voulais ,simplement, que les mots écrits par moi, ont aidé quand même à une personne à se rappeler ce, que le plus grand bonheur de la vie est autour de nous, côte à côte, partout. Les argent, la carrière, oui cela réjouit, mais tout cela n'est pas éternel! Mais l'amour … elle a passé par toutes les barrières, et tandis que dans le monde il y a ,quand meme, une personne, qui l'estime et sent sincèrement, elle vivra et nous donnera la vie! La vie, l'amour et le bonheur existent ensemble harmonieusement, mais on doit apprendre être sincère! Eugénie Eleskina,18 ans. L'étudiante de l'académie de Moscou d'État juridique (filiale)La ville - Vologda    

La badinerie du printemps. “ Nos félicitations, vous avez passé le casting et vous avez reçu le rôle dans la série télévisée. Nous vous attendons 01/04, vendredi, dans notre rédaction, 37, la rue Moscovite. La rencontre avec le metteur-en- scène aura lieu à 7h.” C`était le message qui est venu au portable d`André un des matins ensoleillés du printemps. Frappé, André était allongé dans son lit, les mains sous la tête pleine de la fierté. Ayant passé près d`une demi-heure dans son lit, sans bouger, il s`est souvenu de l`agape où il devait assister avec sa copine. Une idée stupéfaite lui est venue que dans quelques temps, il ne dînerait qu`avec des stars, le beau monde. Et André s`est précipité d`annuler son rendez-vous par réseauter avec ses amis sur l`Internet. L`allégresse de l`adolescent a commencé près du soir. Il donnait sans cesse des coups de fil à ses proches pour partager sa joie. En route à la rédaction, il avait le sourire accueillant qu`il offrait aux passants. En passant devant de grands magasins, André sifflait harmonieusement et en même temps avec un peu de secret , comme il allait acheter tous les vêtements des vitrines dans peu de temps. Tout en se promenant, il s`est souvenu qu`il devait jouer le criminel: un vieillard chauve vêtu en maillot de sport. Tout de suite André s`est dirigé vers le salon de coiffure et s`est séparé facilement avec ses cheveux. “ Jamais je le ferai, mais l`art…” Le chœur d`anges chantait dans son âme. Le ravissement le débordait. Sa joie était cordée de doute et André ne comprenait pas la raison. Une petite fille, passante, lui a envoyé une sourire de complice et a dit qu`il lui fallait lacer les souliers. Andre a regardé ses lacets et bien compris qu`il n`oublierait jamais ce jour de 1-er avril.

Une histoire d'amour Valéry Skorokhodov, 18 ans Moscou, L'Université Pédagogique D'Etat de Moscou

MOSCOU, POSTE RESTANTE… Prostov Valentin 19 ans Université d'Etat de Volgograd Volgograd

Une vie de chien

Pour qu’il ne soit pas trop tard ...   Natalia Zaytseva, 21 ans, Universite d'Etat d'Amour, Blagovechtchensk

Une simple histoire de mon cœur  Lopukhina Anna 23 ans L’Université D’État d'Omsk, Omsk, Russie

L'amour et ses petites joies.   ANDREEVICH Daniela, 18 ans, l'école №12, Lipetsk.

Le mariage Julie Oleneva, 20 ans, l'Academie Socieo Pedagogique de Nijnii Taluil, Nijnii Taluil